Diaporama : https://youtu.be/u7AdObWmus0

(réglage qualité avec roue dentée, si possible 4K, et visionner plein écran)

Accès : depuis Undervelier, prendre la route du Pichoux. Peu après, vous aurez Bronz Art sur votre droite; vous traversez le pont et il y a un parking à gauche.

https://www.google.com/maps/dir//47.2942201,7.2220969/@47.2943998,7.2220447,173m/data=!3m1!1e3!4m2!4m1!3e0?entry=ttu

(avec ce lien, vous n'avez qu'à entrer votre point de départ pour obtenir l'itinéraire)

Niveau : facile. Suivant le niveau de la rivière, quelques passages à gué pour rejoindre la grande chute d'eau. On passe à côté du Lac Vert d'Undervelier (de beaux reflets suivant l'éclairage; c'est plus un étang qu'un lac en fait).

Il y a plusieurs itinéraires de randonnée dans le secteur; nous avons choisi le plus court (en aller-retour) car il reste au plus près de la Sorne, directement dans les gorges.

Diverses propositions ici : https://www.komoot.com/fr-fr/highlight/467197

Les gorges du Pichoux, formées par la Sorne dans le canton du Jura et de Berne, comptent en effet un nombre impressionnant de sources, dont l’eau jaillit de la falaise calcaire les jours de pluie. Les gorges du Pichoux se situent sur la route reliant Bellelay et Undervelier et se distinguent par leur envoûtante beauté. Dans l'imposante gorge, la Sorne murmure le long des parois presque parfaitement verticales de la gorge qui l'enserre. 

La région d’Undervelier est située au coeur des gorges du Pichoux, elles-mêmes inscrites à l’inventaire fédéral des paysages, des sites et des monuments naturels. Cette cluse typique du Jura plissé, abrite des sources d’une qualité particulièrement remarquable. On y a découvert en 2002 une espèce d’éphémère extrêmement rare (Baetis nubecularis) qui se rencontre uniquement dans les eaux froides et bien oxygénées de l’Arc jurassien.

Les gorges du Pichoux sont des gorges situées sur le territoire des communes du Petit-Val et de la Haute-Sorne, le long de la Sorne, dans les cantons de Berne et du Jura.

En forêt, le respect s’impose

https://www.foretsuisse.ch/foretsuisse/savoir/petit-guide-savoir-vivre/wald-knigge-fr.pdf

Avertissement :

Pour certains sauvages (qui s'agglutinent spécialement aux abords du "lac"), nous les prions de respecter le site, notamment en évitant de faire des feux sauvages, parfois en coupant de jeunes branches d'arbres; quant à leurs déchets divers, s'ils ont pu les amener jusque là, ils pourront sûrement repartir avec... 

Sources :

https://www.j3l.ch/fr/P33243/lieux/sites-naturels/gorges-du-pichoux-et-lac-vert

https://www.myswitzerland.com/fr-ch/decouvrir/gorges-du-pichoux/

Petit diaporama : https://youtu.be/5u2pQF7ks4Y

(Réglage qualité avec roue dentée; choisir si possible 4K et visionner plein écran)

L’étang de Sous-le-Crât est une toute petite étendue d’eau à Lajoux dans les Franches-Montagnes JU. Il avait été aménagé comme réservoir pour faire fonctionner un moulin comme cela a souvent été le cas pour de très nombreux étangs dans le canton du Jura à commencer par le fameux étang de la Gruère.

Le bas-marais de Sous-le-Crât figure à l'inventaire fédéral des sites d'importance nationale. Grâce à un partenariat entre la confédération, le canton, la commune et deux fondations, un plan de gestion a pu être établi et des travaux ont été entrepris. Les digues des étangs ont été réparées, des ruisseaux ont été réouverts, une barrière évite le piétinement du bétail, des zones-tampon ont été définies et l'épandage d'engrais y est limité. Comme presque tous les étangs des Franches-Montagnes, les étangs Sous le Crât sont artificiels. Il n'y a pas de rivières sur le plateau et les étangs ont été aménagés en réservoirs pour desservir les moulins. Ils étaient creusés dans une couche de marne et le moulin était construit sur un emposieu ou un gouffre. La roue hydraulique était placée dans le trou pour augmenter la chute d'eau.

Superficie  :  0.3 ha

Altitude  :  925 m

Type  :  artificiel

Sept espèces de batraciens sont présentes dans le bas-marais et les étangs : la grenouille rousse, la grenouille verte, le crapaud commun, le crapaud accoucheur, le triton alpestre, le triton palmé et le triton crêté.

Les bas-marais :

Le bas-marais est une formation herbacée qui, du fait de l'excès permanent d'eau de la nappe phréatique ou de ruissellement, présente une couverture végétale adaptée à l'humidité. Les bas-marais sont alimentés, outre les eaux de pluie, par des eaux plus riches en éléments nutritifs tels que la nappe phréatique, les eaux de ruissellement et les inondations temporaires.

Végétation

La végétation des bas-marais reflète les fluctuations du niveau de l'eau et se diversifie selon les propriétés chimiques de l'eau. On y rencontre différentes associations végétales : roselière, marais à grandes laîches, marais à petites laîches, prairie à molinie, prairie humide à populage, mégaphorbiaie humide.

La flore des bas-marais est dépendante des milieux pauvres en éléments nutritifs et très humides. Elle nécessite d'un entretien régulier (par ex. une fauche tardive) afin de se maintenir et éviter l'embroussaillement du milieu

Impact humain

Les bas-marais font souvent l'objet d'une exploitation agricole. La production intensive menace la conservation de ces milieux à cause de l'engraissement par la fumure, le drainage et la fauche trop précoce des litières qui nuisent à la diversité des espèces.

Depuis le 19ème siècle, environ 90% des bas-marais ont disparu du plateau suisse, car ils ont été asséchées et engraissés, remblayés ou même recouverts de constructions.

Aujourd'hui de nombreux exploitants ont été sensibilisés à la problématique et grâce aux payements directs il est possible de compenser la perte de rendement due à une exploitation extensive de ces surfaces.

“Quand l’étang se remplit, les crapauds s’assemblent.”

Proverbe indien

Sources :

https://www.fr.ch/energie-agriculture-et-environnement/faune-et-biodiversite/les-bas-marais

https://torpille.ch/listing/etang-de-sous-le-crat/

Sentier_Fer.pdf

Jolie rando en boucle à l’abri du soleil, fraîcheur garantie. Une bonne partie du parcours est assez peu fréquentée. Contrairement au cordonnier, le randonneur se doit d’être bien chaussé, donc prévoyez de bonnes godasses, le parcours principal se déroulant principalement dans le lit du ruisseau de la Combe dans un terrain assez minéral; suivant le niveau du cours d'eau, c’est un peu moins facile ! Cette année, la végétation a fait un bond considérable et les orties sont en force par endroits. Attention aux tiques qui sont bien présentes ; préférez les pantalons longs, quitte à mettre le bas des jambes dans les chaussettes.

Diaporama :

https://www.youtube.com/watch?v=nJ69JagCnSo

(Visionnez plein écran, avec la qualité maximale au moyen de la roue dentée)

Parcours approximatif :

https://www.visorando.com/randonnee-/22907769-carte-diagramme.html

(inscription gratuite sur visorando pour visionner la carte)

Durée : 3 h 20 (allure photos, sans les pauses)

Distance : 7km env.

Dénivelé positif : 320m env. Altitude de départ au parking : 700m env. ; altitude maxi :1020m env.

Niveau : facile

Difficultés : aucune en particulier. Sentiers escarpés par endroits ; quelques passages pouvant s’avérer glissants après des pluies récentes ; petites chutes de pierres possibles au pied des parois.

Accès : de Gland, prendre la direction d’Arzier-Le Muids. Peu après le hameau « Le Muids », prendre la route cantonale à droite direction Bassins. Juste après la première grand courbe à droite, prenez le petit chemin qui descend à droite où vous pouvez parquer (tôt le matin si possible, il n’y a pas beaucoup de places).

Itinéraire : du « parking », traverser la route et prendre la piste qui part en rive droite du ruisseau de la Combe (signaux et panneau). À la fin de la piste forestière, on continue dans le lit du ruisseau. Le cheminement est assez évident ; il y a quand même des cairns par endroits. L’ambiance est vite au rendez-vous dans les gorges. L’air y devient plus frais et le décor est assez impressionnant, dans un environnement assez sauvage et bien préservé. On finit par quitter le lit du ruisseau pour croiser un chemin forestier. De là, vous pouvez reprendre le cheminement dans le lit du ruisseau mais c’est nettement moins intéressant. C’est cependant ce que nous avons fait… Quand visiblement, vous ne voyez plus trace du lit du ruisseau, montez sur la gauche pour rejoindre un chemin que vous suivez à droite. Le chemin devient un sentier qui entre à nouveau dans la forêt. Le ruisseau de la Combe est discret mais bien présent par endroit. On s’élève lentement mais sûrement. Au premier sentier bien marqué à droite, suivez-le (à un peu moins de 1000 m d’altitude). Continuez toujours tout droit. Vous aurez un pré sur votre gauche que vous longerez en lisière de forêt. Une fois dans ce pré (petite barrière à franchir), prenez à gauche (nouvelle barrière à passer). Ensuite, à droite (route des Montagnes). Prenez ensuite à droite un chemin forestier (balisage). Ensuite, à gauche puis toujours tout droit dans le chemin de l’étang, puis à gauche pour rejoindre la route des Montagnes. Empruntez ensuite le deuxième chemin à droite puis, sans descendre dans les lotissements, continuez tout droit dans le chemin de la Trappe ; à la fourche, à gauche dans le chemin du Sétif. Après quelques maisons (chalets), vous aurez un pré sur votre droite. Vous vous y engagez en longeant un bosquet, à gauche, puis descendez franchement pour rejoindre la route cantonale que vous suivez à la descente pour rejoindre le point de départ.

"La nature ne t'a pas créé pour faire la même chose que tout le monde"

Simon LAFAGE

Nous avons trouvé cette idée de rando ici :

https://www.visinand.ch/Gorges/Gorges_de_Moinsel/2020_03/Gorges_de_Moinsel.htm.

Nous avons changé quelque peu le parcours mais nous en devons l’essentiel à l’auteur, que nous remercions au passage d’ailleurs.

Sources : ment.

Belle rando dans un environnement varié et assez sauvage. Superbes points de vue tout au long du parcours (Genève, le Léman, le Mont Blanc, les Alpes...). Du Reculet, possibilité de rejoindre le Crêt de la Neige (1720 m), point culminant du Jura ; le Reculet est le 2ème plus haut sommet.

Carte IGN :  IGN 3328 OT

Diaporama :

https://youtu.be/8-EtD10Bje8

(Cliquez pour avoir le grand écran et avec les réglages, choisissez la qualité maximale)

Parcours approximatif :

https://www.visorando.com/randonnee-/14531905-carte-diagramme.html

(inscription gratuite sur visorando)

Durée :  5h (pauses comprises)

Distance :  6km env.

Dénivelépositif :  855 m env. Altitude de départ au parking : 863 m ; altitude maxi :1718 m (Reculet).

Niveau : moyen

Difficultés : aucune en particulier. Sentiers escarpés pouvant s’avérer assez glissants. Petits passages où l’aide des mains est nécessaire dans le tronçon de la descente. Dénivelé ne laissant que peu de répit.

Accès : se rendre à Thoiry situé entre Sergy et St-Jean de Gonville. De là, atteindre le Tiocan et son parking devant le belvédère.

Itinéraire : un bon descriptif sur ce lien (hormis le dénivelé et l’altitude maxi qui ne correspondent pas à la réalité) :

https://www.visorando.com/randonnee-le-reculet-depuis-le-tiocan/-2

«La chasse est le moyen le plus sûr pour supprimer les sentiments des hommes envers les créatures qui les entourent.»

«Mais existe-t-il quelque chose de plus abominable que de se nourrir continuellement de viande de cadavres?»

Voltaire

Sensibilisation :

Le milieu que vous allez traverser durant cette randonnée est fragile.Il se situe dans la réserve naturelle du Creux-du-Van. Faites attention à la flore et ne dérangez pas la faune locale. Rapportez vos déchets chez vous.

Source : ment.

Jolie balade en boucle dans une forêt encore préservée de la folie humaine, forêt qui est relativement jeune, vu les activités destructrices des verriers durant des siècles dans ce secteur. Le départ s'effectue sur les hauts de la Côte Malherbe.

Diaporama :

https://www.kizoa.com/Video-Editor/d364101633k3313000o1l1/Mont_Bally

Trajet approximatif :

https://www.visorando.com/randonnee-/7646846-carte-diagramme.html

(inscription gratuite sur Visorando pour visionner le tracé)

Durée : 2h30, allure tranquille

Distance : 5 km env.

Dénivelé positif : 136m env. Altitude de départ : 996m. Altitude maxi : 1134m. Mont Chaubert : 1082 m, Mont Bailly : 1057 m.

Niveau : facile. Promeneurs

Difficultés : aucune

Accès : de Gimel, prendre la direction de Saint-Georges (col du Marchairuz), sur la route du même nomqui devient ensuite route de Gimel. Au hameau suivant,monter à droite et prendre le chemin du Four à Chaux que vous suivez jusqu’à son terme, avec un petit parking où vous pouvez garer.

Itinéraire : du parking, des panneaux vous indiquent plusieurs possibilités de parcours. Nous n’avons pas vraiment suivi de balisage en particulier. Suivez la piste à la montée ; ensuite, vous pouvez prendre le premier ou le deuxième sentier qui part à gauche. Après une petite montée, le cheminement se stabilise et on rejoint la Roche du Ciel (superbe petite cabane en bois avec sa statue; vue magnifique, entre autres sur la côte, le Léman et même le Mont Blanc). On continue le sentier dans la même direction jusqu’à trouver un cheminement qui part à droite. On continue plus ou moins tout droit dans une très belle forêt mixte avec un passage au Mont Chaubert ; après une courte descente, prenez le chemin qui part à droite. On rejoint le Mont Bailly et sa ferme. Vue splendide. Le site est magnifique avec de superbes grands arbres. Traversez le pré en tirant sur la droite et en lisière de forêt, vous retrouvez un sentier et le suivez à gauche. Vous croisez une piste que vous empruntez à la descente. Lorsqu’elle vire à gauche, prenez le sentier qui part à droite et qui vous ramène au parking.

Divers :

La Côte Malherbe : son nom exprime d’emblée le fait que l’agriculture ici n’était pas la plus prolifique ; le sol maigre, séchard et grillé au soleil faisait que le travail ne rendait pas autant qu’ailleurs. La particularité du site de St-George est qu’il présentait la plus grande concentration de structures liées à la verrerie connue dans le canton avec des exploitations signalées de 1698 à 1721 et de 1722 à 1740 ; une partie de la production des verreries de St-George était destinée au marché genevois. Les verriers consommaient des quantités phénoménales de combustibles pour travailler et pillaient les forêts ; sur 100 stères de bois coupés, ils en utilisaient 5 pour chauffer leur four et 95 étaient réduits en cendres, dont la potasse blanchit le verre. Il fallait ainsi 2 stères de bois pour produire un kilo de verre. Conséquence, les verriers étaient (à juste titre à notre avis…) considérés comme des pilleurs de la forêt, faisant des coupes rases sur dix ou quinze ans, avant de recommencer ailleurs, alors que Berne avait interdit, dès 1700, toute activité de verrerie autour du Léman et dans le Pays de Vaud...

« On aime d’abord la nature. Ce n’est que bien plus tard qu’on arrive à l’homme »

Jules Renard

Sources : panneaux didactiques sur site

Très jolie balade au départ de Buttes, dans le Val-de-Travers, canton de Neuchâtel. Cet itinéraire est idéal en hiver, à raquettes. Joli coup d’oeil sur le Chasseron depuis la crête du col. Une bonne partie du trajet se déroule en forêt, versant nord, donc avec peu de lumière.

Carte de randonnée No WK.27 - Val de Travers - Hallwag

Diaporama :

https://www.kizoa.com/Video-Editor/d348545631k7805896o1l1/Cret_de_la_Neige

Tracé approximatif :

https://www.visorando.com/randonnee-/4457121-carte-diagramme.html

(pour visionner ce tracé, inscription gratuite sur :

https://www.visorando.com/inscription-visorando.html)

Durée : 5 h

Distance : 9 km environ.

Dénivelé positif : 670m. Altitude de départ : 770m. Altitude maxi : 1440;(Crêt de la Neige 1425 m).

Niveau : moyen en hiver ; facile les autres saisons par temps sec.

Difficultés : aucune. Cet itinéraire peut varier et donc être adapté lorsque les conditions hivernales permettent aux remonte-pentes de fonctionner et que des skieurs utilisent les pistes (vous pouvez vérifier ici :

https://www.robella.ch/fr/horaires/horaires-d-hiver/357-etat-des-installations.html).

Quelques sentiers escarpés, notamment celui qui côtoie la piste de downhill (ce parcours de sauts et d’obstacles est impressionnant et digne des grandes compétitions :

https://www.robella.ch/fr/downhill.html).

Accès : depuis Neuchâtel, monter au Val-de-Travers et aller jusqu’à Fleurier. Prendre ensuite la direction de Saint-Croix et vous arriverez à Buttes. Depuis Yverdon, passer par Vuiteboeuf, monter jusqu’à Saint-Croix, puis juste après le col des Etroits, à droite jusqu’à Buttes.

Itinéraire : du parking de la Robella (télécabines), prendre le chemin de la Robella qui monte sur la gauche et entre dans la forêt ; après le 3ème virage, suivre le sentier qui part à gauche et monte dans un beau décor d’essences variées, en longeant quelques barres rocheuses. Vous retrouvez la piste que vous suivez à la montée. Après un virage à gauche, comptez 600 m environ le long du bois de Ban et prenez le sentier à droite qui monte en lacets. Vous allez recroiser la piste; continuez tout droit. Le sentier s'élève en lisière de forêt, en lacets, puis il rejoint à nouveau la piste que vous suivez à la montée sur cent petits mètres avant de prendre le chemin à droite (direction Le Chasseron). Vous passez à côté d’un chalet et suivez le sentier qui monte tout droit en légère montée, le long de la crête. Vous passez près de l’arrivée du téléski et juste après, vous descendez à gauche. Beau coup d'oeil sur le Chasseron, à droite. Une fois au col du Crêt de la Neige (altitude 1425 m), prenez à gauche « Petite Robellaz ». Vous descendez gentiment dans un petit vallon qui longe le Crêt de la Neige sur votre droite. Vous repassez devant le chalet du « Crêt des Lisières » et redescendez par l’itinéraire inverse jusqu’à un panneau en bois indiquant « Chemin du Plan des Auges » où vous prenez à droite. Le sentier descend dans une splendide forêt, avec des hêtres dignes de ce nom, jusqu’au Plan des Auges, à 1040 m. Suivez « Buttes » ; le cheminement va contourner le Crêt Rond par la gauche, avant d’obliquer franchement à gauche. On dépasse « Sur la Prisette », « La Plata » pour rejoindre la route et donc, le parking de la Robella.

Faune observée : corbeau, grive litorne, mésange charbonnière, pinson du nord, geai des Chênes

Divers :

Histoire du village de Buttes

Une ancienne tradition assure qu'il a existé au Mont-de-Buttes un château qui portait le nom de son fondateur, Girard de Roussillon, qui le fit construire en l'an 871. Ce château fut accusé d'être entré dans la Société des châteaux brigands qui dévalisaient les voyageurs, avec ceux de Rochefort et du Châtelard près de Bevaix. Le premier acte authentique concernant Buttes est daté de 1342. Ce document de vente immobilière fait référence à un moulin. Il y avait donc déjà à cette époque une population stable établie à l'endroit où se trouve actuellement le village de Buttes.

« Absinthe, je t'adore, certes!
Il me semble, quand je te bois,
Humer l'âme des jeunes bois,
Pendant la belle saison verte. »

La Muse au cabaret (1920), Five o'clock Absinthe, L'Absinthe deRaoul Ponchon

Sensibilisation

Le milieu que vous allez traverser durant cette randonnée est fragile. Faites attention à la flore et ne dérangez pas la faune locale. Rapportez vos déchets chez vous et ramassez aussi ceux que vous trouverez. Vous soutiendrez ainsi le mouvement KeepTheMountainsClean.